Selon Amara Benyounès à partir d’Annaba
En dehors des thèmes de circonstance ayant trait à la gestion des communes et du quotidien du citoyen par les futurs élus, Amara Benyounès, secrétaire général du MPA, a développé, avant-hier, au théâtre régional Azzedine-Medjoubi d’Annaba, un discours dans lequel il a fustigé sur le plan idéologique certaines formations politiques dont il dit qu’elles s’agrippent à des concepts révolus et qui ont montré leurs limites. «Le socialisme est mort, martelait-t-il à l’adresse d’une assistance nombreuse venue l’écouter, il n’y a qu’à voir tous ces pays qui ont adopté cette idéologie pour découvrir qu’ils se débattent encore dans le sous-développement. La realpolitik veut que l’on s’adapte et que l’on ne tergiverse plus quand il s’agit de choix économiques. Certaines formations politiques nous critiquent pour nos positions et ne manquent pas une occasion pour nous taxer de parti du pouvoir, comme cela a été le cas pour Louiza dre ce qu’ils appellent le printemps arabe – et notre printemps à nous il est Algérien, authentiquement Algérien- veulent le réaliser à partir de l’extérieur pour affaiblir notre armée, ce qui permettra à certains d’instaurer le chaos à l’intérieur. L’Algérie ne marchera pas et nous soutenons le président de la République dans sa position. Il préserve l’Algérie et les citoyens d’une guerre qui ne nous concerne pas», conclut-il.
Source L’Expression Mohamed Rahmani
Le Pèlerin