Algérie - L’IRG et la femme au foyer
Si je parviens à arranger les mots à leur place, je décrirai le calvaire que vit au quotidien le retraité.
Un quotidien de répression et de mépris moral en échange des édifices glorieux, facteurs prépondérants et potentiel de développement de l’économie toujours d’actualité, monté par cette frange de la population usée par la force de l’âge, aujourd’hui sans aucune assistance sociale ou morale, épluchée de ressources suffisamment méritoires à la récompense de son passé. Bien au contraire, elle baigne dans l’indifférence, l’injustice, l’inégalité et l’indigénat. Autrement dit, comment expliquer la disparité de l’octroi de l’allocation de la femme au foyer attribué différemment et de manière indécente aux malheureux retraités : 1 500 DA, 1 730 DA ou 1 870 DA. Ce dernier montant est attribué à compter du mois de janvier de l’année 2010. D’autre part, le prélèvement de l’IRG qui emboîte le pas à chaque revalorisation de pension, revalorisation annuelle permettant de protéger son pouvoir d’achat. Dans cette optique, il est préférable de parvenir à lever toutes les lacunes de manière à identifier une pérennité fiable et efficace qui permettra au retraité de finir ses jours dans des conditions confortables et honorables. Avant de terminer cette expression sans cesse croissante qui ronge malheureusement le retraité, il est impératif que je tienne à exprimer ma profonde gratitude à tous ceux et toutes celles qui manifestent leur volonté à développer leur savoir et leur fidélisation à valider leurs compétences aux préoccupations objectives des retraités.
Source Le Soir d’Algérie Boucheneb Badaoui
Le Pèlerin